Biographie

LEA COLETT

  

À l’école primaire dans les années 60, avec un premier prix d’écriture et de lecture, un dictionnaire pour récompense, Léa Colett découvre que la littéra-ture siège au fond de son cœur et, dès l’âge de neuf ans, elle commence à écrire son journal intime.

Plus tard, elle y fait la rencontre d’une petite fille triste, comme il doit en exister des milliers.

Puis au fil des jours, elle écrit la complainte de la vie d’Alysse, qui de toute évidence avait besoin de la conter, pour pouvoir la dépasser.

Avec leurs propres rythmiques, grâce à cette thérapie, Léa Colett et son personnage trouvent le ressort pour tourner leurs jours en une mélodie. Naît une autofiction. Mais c’est bien le deuxième prénom de l’auteure qui a été trouvé dans la corbeille d’or qui fleurit dans ce roman.

Révélé par sa bonne grand-mère maternelle, un premier secret éveille l’intérêt du personnage central de cette attachante trilogie. Il donne naissance au tome I. Suivent les tomes 2 (Hyaline) et 3 (Karl), de cette saga. Ces récits prennent leurs sources dans des histoires de famille singulières, tenues longtemps sous le sceau du silence.

Forte de sa capacité d’analyse et de son goût pour l’étude des caractères, l’auteure évoque à travers cette histoire, la maltraitance, la passion, l’infidélité, le détachement, le pardon, là où toujours transparaît l’amour, la principale clé du bonheur, selon elle.

Portés par des vagues d’humour et de volupté, en dépit de la gravité des sujets abordés, ses récits res-semblent à des témoignages ; or, elle y imbrique fiction et réalité, ce qui peut dérouter les lecteurs qui la connaissent.

À l’évidence, Léa Colett renverse les règles, bous-culant l’opinion même de ses proches, en s’intéressant à ce qui peut sembler anodin, en faisant violence aux préjugés, avec une grande liberté de ton.

Puissent ces romans faire réfléchir sur les rela-tions de causes à effets et le respect mutuel auquel on doit veiller, grâce aux mots-clefs ‘Amour’ et ‘Pardon’.

À chacun son destin.

 

Tous finiront par se répandre dans les harmoniques d'un ample concerto silencieux qui recouvrira l’histoire d’un léger manteau de poudreuse.

 

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